TIRAMISU POIRES CHATAIGNES

Cette année est vraiment bénie des dieux. Pour mon blog, bien sûr: un temps splendide, des fruits à profusion , sauvages ou non, et du temps pour repérer, cueillir ou ramasser, préparer et … déguster.

Hier je suis allée ramasser des châtaignes dans une magnifique forêt de châtaigniers que j’ai découvert il y a peu au cours d’une randonnée.  Les chemins étaient truffés de bogues, tombées là depuis un certains temps. Les autres promeneurs et  les sangliers, passés là bien avant nous,  nous quand même  laissé de quoi  nous faire plaisir.

La lumière était splendide, la température idéale. Je sais que ce temps et cette sécheresse ne sont pas bon pour la planète et les cultures, mais quel bonheur de se promener en ti-shirt mi-octobre!

Me voilà donc avec ma récolte de châtaignes. J’en ai gardé pour les faire griller à la poêle et j’ai fait cuire le reste à l’eau.

Tout d’abord il faut les trier. Pour cela mettez-les dans un récipient rempli d’eau. Celles qui sont bonnes tombent au fond, les autres sont véreuses.

Pour les éplucher, incisez-les avec la pointe d’un couteau (attention, incisez bien les deux couches de peau pour que celles-ci s’épluchent facilement sinon ça va être plus difficile). Faites bouillir une dizaine de minutes puis égouttez et versez dans de l’eau froide le temps de l’épluchage. Enlevez bien les deux couches protectrices. Vous trouverez plusieurs recettes pour réaliser la purée nécessaire. Moi j’ai simplement mixé au mixer plongeant mes châtaignes, avec un peu de lait (de soja) et sans sucre pour plus de légèreté.

Vous pouvez bien sûr vous dispenser de l’étape ramassage et épluchage en achetant des marrons, voire même de la purée (ou de la crème de marrons si vous aimez très sucré)

Ingrédients pour 4 personnes:

  • 250 g de purée de châtaignes (voir ci-dessus comment faire)
  • 250 g de mascarpone
  • 3 oeufs
  • 12 biscuits à la cuiller
  • 1 grosse boite de poires au sirop (ou 4 poires que vous faites pocher au sirop léger)
  • 2 càs de sucre
  • cacao amer
  • brisures de châtaignes

Préparation:

  • Mélanger le mascarpone et la purée de châtaignes
  • Séparez les blancs des jaunes d’œufs
  • Mélangez les jaunes et le sucre, jusqu’à ce la préparation blanchisse
  • Montez les blancs en neige.
  • Mélangez les jaunes + sucre à la crème mascarpone/châtaignes, ajoutez délicatement les blancs.
  • Versez le sirop des poires dans une assiette creuse.
  • Faites tremper les biscuits à la cuiller dans le sirop
  • Disposez les biscuits dans le fond du plat ou des verrines
  • Ajoutez les poires coupées en dés
  • Ajoutez la préparation crémeuse
  • Réservez au réfrigérateur 3h
  • Au moment de servir, saupoudrez de brisures de châtaignes et de cacao amer.

Bon appétit!

 

 

 

 

 

 

MUFFINS AUX POMMES ET FAINES DE HETRE

Au fur et à mesure que je découvre la richesse des plantes sauvages, je me demande à quel moment nous avons arrêté d’en consommer certaines, oublié même leur existence et leur goût. Qu’est-ce qui a fait qu’à un moment, nous avons choisi de cultiver certaines plantes au détriment des autres? Facilité? sensibilité aux maladies? Manque de rendement? Goût?

Par manque de temps, dans cette société qui court sans cesse, nous allons au plus facile. Chercher, cueillir, nettoyer, trier, éplucher les plantes ou les fruits prend du temps, c’est vrai. Et en ville trouver des plantes relève d’une démarche active de recherche en forêt ou montagne. Mais pourquoi même les agriculteurs ou les forestiers ont -ils oublié la richesse de leur sol?

Pourquoi, parmi les arbres à fruits a-t-on, par exemple, oublié le hêtre? Pourtant il est commun dans nos forêts. Il aurait, comme le châtaignier, le noisetier et le noyer, pu être cultivé et ses fruits consommés. D’autant que son goût est proche de la châtaigne. On en fait une excellent huile, dont le goût est proche de la noix et qui se bonifie en vieillissant, ce qui est étonnant. Pourtant elle est très rare. Comme la plupart des plantes sauvages, il était consommé en grande quantité autrefois (par les grecs par exemple), et l’huile qui en était tirée servait à l’éclairage et à faire du savon.

Je ne saurai sans doute jamais mais bon, en tout cas, je sais maintenant que c’est comestible et bon.

Cette année est une année à fruits et le hêtre ne fait pas exception. D’autant qu’il donne des fruits après des températures estivales chaudes, ce qui a été le cas, on ne peut pas dire le contraire, cette année. Quand vous trouvez des cupules (bogue) au sol, il suffit de se baisser pour ramasser tout ce dont vous avez besoin.

Les faines qu’est ce que c’est? Ce sont les fruits du hêtre. Comme pour les châtaigniers, les graines se trouvent dans une cupule (bogue en plus petit) pleine de piquants, à raison de deux ou trois graines par fruit. Elles ressemblent à la châtaigne en plus petit et plus allongé. Riches en lipides (d’où l’huile), elles peuvent être toxiques mais crues et en consommation excessive, ce qui sera rarement le cas.

 

 

 

 

Cuisson et épluchage:

Prévoir le double en cueillette du poids nécessaire: entre les hôtes et les peaux, c’est ce que vous perdrez (moins si les faines ne sont pas  « habitées », plus si vous n’avez pas de chance).

Lavez-les et mettez-les dans un récipient plein d’eau pour les trier: les fruits sains tomberont au fond, les fruits avec un habitant flotteront.

Ensuite, faites les bouillir quelques minutes dans l’eau pour  les éplucher ( un peu plus longtemps pour les cuire). Elles s’épluchent ensuite très facilement sans se brûler les doigts. Plus petites que les châtaignes, leur peau est aussi plus souple. Prévoyez cependant du temps pour le faire: devant un bon film ou en discutant en famille, le temps passe vite.

Vous pouvez ensuite les torréfier à la poêle et les consommer telles quelles en apéritif, sur des salades, ou dans des préparations plus élaborées comme ici des muffins, dont j’ai trouvé la recette sur l’excellent site Mon Chalet en morvan qui m’inspire de nombreuses fois!

Personnellement je préfère le goût non grillé, moins amer (mais je les avais peut-être laissées trop longtemps dans la poêle, même si j’ai surveillé et fait attention).

 

 

Ingrédients pour les muffins:

  • 2 pommes
  • 1 oeuf
  • 20 cl de lait
  • 240 g de farine
  • 1 càc de miel
  • 2 càc de levure
  • 1/2 càc de sel
  • 3 càs d’huile
  • 50 g de faines
  • 1 càc de cannelle

Préparation:

  • Préchauffez le four à 180 ° (th 6)
  • Pelez les pommes et coupez les en petits dés
  • Concassez grossièrement les faines
  • Mélangez la farine, le sel, la levure, le miel, l’œuf, le lait et l’huile.
  • Lorsque la pâte est lisse, incorporez les pommes, la cannelle et les faines
  • Versez dans des moules à muffins et faites cuire 20 à 25 mn

 

Bon appétit!

 

 

 

 

BUTTERNUT AU CHEVRE, NOIX ET GRAINES D’ORTIE

J’aime la saveur douce et sucrée des butternuts et je suis contente que la saison ait démarré. Je les préfère aux potimarrons, et surtout aux potirons dont j’aime le goût mais pas l’épluchage ! Les butternuts sont ultra simples à faire cuire au four et la présentation, ainsi coupé en deux, à toujours du succès.

Il me restait du chèvre, du lait de coco, des noix ramassées l’autre jour… ne restait plus qu’à mélanger tout ça. J’ai voulu tester les graines d’orties qui poussent dans un coin du jardin.

Les orties en sont pleines et il est très aisé de les récolter. Il suffit de mettre un petit bol sous l’ortie, prendre les grappes de graines entre le pouce et l’index et frotter les deux doigts l’un contre l’autre. Ça ne pique pas. Par contre, préférez des orties peu polluées, car, après deux tentatives, j’ai renoncé à les laver. Les graines sont si fines que ça colle aux doigts, et je n’ai pas réussi à les sécher correctement. Vérifiez simplement que vous n’avez pas d’hôtes, et laissez leur le temps de sortir!

A goûter elles sont croquantes, douces, lequel croquant s’en va à la cuisson. Elles n’apportent pas de saveur particulière au plat, juste leurs propriétés : acides gras insaturés (linoléique et linolénique), des vitamines C, E, B1 (thiamine), B2 (riboflavine), B3 (niacine), B6 (pyridoxine), et de nombreux minéraux : ferzinc, cuivre, calcium, phosphore, magnésiummanganèsesodium, potassium, et sélénium.

Je pense qu’il est préférable de les consommer crues, (boules de fromage de chèvre roulées dedans par exemple).

Ce plat est toujours autant apprécié, prévoyez une bonne heure de cuisson, à vérifier en fonction de la taille de votre butternut (le mien était particulièrement gros).

Ingrédients:

  • 1 butternut  (taille selon le nombre de convives)
  • 10 cl de lait de coco
  • 1/2 fromage de chèvre (frais ou fait, à votre convenance)
  • 2 càs de graines d’orties
  • 1 poignée de noix concassées
  • sel, poivre

Préparation:

  • Préchauffez votre four à 210° (th 7)
  • Coupez votre butternut en deux,
  • Otez les graines (gardez-les pour les griller ou les planter )
  • Creusez encore une partie de la chair (je l’avais remise dans le creux mais vous pouvez la conserver pour une cuisson ultérieure), afin de pouvoir mettre le lait de coco et le fromage
  • Déposez les deux morceaux sur la lèchefrite, préalablement recouverte de papier aluminium. Faites tenir droit avec une boule de papier alu si ça ne tient pas tout seul (pour éviter que la crème ne coule). Ajoutez un peu d’eau au fond de la lèchefrite
  • Coupez le chèvre en petits cubes, parsemez dans le butternut, ajoutez le lait de coco ( ou la crème si vous préférez)
  • Ajoutez les graines d’ortie
  • Salez, poivrez.
  • Enfournez pour 45 mn
  • Pendant ce temps ouvrez et concassez vos noix
  • Parsemez les butternut  remettez au four pendant 1/4 h.
  • Vérifiez la cuisson avec un couteau, il doit s’enfoncer sans problème.

Bon appétit!

 

 

 

CRUMBLE POMMES RAISINS NOIX

L’automne est là, depuis ce matin. Il est même arrivé en fanfare  : baisse de 15 degrés des températures en 3 jours, vent fort annoncé pour ce soir et pluie. Je vais peut-être même rallumer mon poêle.

Du coup, on a envie de se réchauffer le corps et le cœur avec de bons petits plats mitonnés et de bons desserts.

Hier, en marchant, j’ai vu que le vent fort de vendredi soir avait fait tomber de nombreuses noix aux pieds des noyers. Bien sûr j’y suis retournée faire ma récolte! Et j’ai ramassé aussi des pommes tant qu’à faire. Mais je ne sais absolument pas la variété.

Voilà donc un dessert goûteux et fruité qui ravira petits et grands. Et c’est un bon moyen de manger des fruits.

Ingrédients pour 6 personnes:

    • 4 pommes
    • 500 g de raisin frais
    • 50 g de cerneaux de noix
    • 30 g de beurre
    • 20 g de sucre

    Pour la pâte :

    • 200 g de farine
    • 150 g de sucre
    • 150 g de beurre froid + 20 g pour le plat
    • 50 g de cerneaux de noix
    • 2 pincées de cannelle

Préparation:

  • Préchauffez le four à th 8 (240°). Pelez les pommes et coupez-les en dés, concassez grossièrement les noix. Retirez les pépins des raisins si vous le souhaitez. Faites revenir les fruits et les noix concassées dans une poêle avec le beurre et le sucre 5 min en remuant.
  • Préparez la pâte : détaillez le beurre froid en petits morceaux. Mettez-les avec la farine, le sucre, la cannelle et les noix dans le bol d’un robot et mixez jusqu’à ce que vous obteniez un mélange sableux.
  • Beurrez un plat à four, disposez les fruits dedans, recouvrez-les avec la pâte et faites cuire pendant 10 min. Réduisez le th à 6 (180°) et poursuivez la cuisson encore 30 min. Servez tiède dans le plat de cuisson accompagné d’un peu de crème fraîche (épaisse ou liquide) ou de glace à la vanille.

Bon appétit!

Découvrez d’autres recettes aux noix sur le site

SOUPE FROIDE DE CONCOMBRES AUX NOIX

Le temps est vraiment étrange cette année. Il a fait beau et sec depuis le mois de mai, et en ce 15 septembre il fait encore chaud. Non que je m’en plaigne parce que j’ai pu passer tous ces mois dehors, dans le jardin ou en balade, et cela convient tout à fait à mon besoin de nature.

Mais du coup, mes recettes s’adaptent, non seulement à ce que je ramasse mais aussi à la température extérieure.  Ainsi, aujourd’hui, avec le nième « dernier » barbecue de la saison, je vais nous faire une soupe froide au concombre et aux noix. Parce que oui, on trouve déjà des noix bonnes à manger. C’est sans doute un peu tôt, mais la chaleur a avancé toutes les floraisons et fructifications d’au moins quinze jours cette année. Les vendanges sont presque déjà terminées. Les feuilles jaunissent et commencent à tomber. J’ai ramassé des pommes et cueilli du raisin. Les nuits sont froides malgré la chaleur diurne. Etrange mélange. (Bon, cela dit, j’ai déjà fait des raclettes et allumé ma cheminée  en plein mois de juillet, pour une fois que ça va dans l’autre sens, je ne vais pas me plaindre! )

Du coup ma soupe mélange été et automne.

Ma recette d’aujourd’hui est tirée d’une recette turque, le cacik. Je ne connais pas mais il semble que cette soupe se mange en accompagnement et/ou en sauce. J’ai trouvé des recettes assez différentes, avec et sans noix. Les puristes qui connaissent excuseront les libertés prises avec la recette d’origine. Ce sera en accompagnement pour moi, et pour le yaourt qui sert de base, j’ai pris du yaourt de chèvre que j’aime bien mais on peut faire ce qu’on veut.

Ingrédients pour 4 personnes:

  • 3 petits concombres turcs ou un grand concombre
  • 1 kilo de yaourt très épais
  • 2 gousses d’ail
  • 1/2 bouquet de persil plat
  • 1/2 bouquet d’aneth
  • 3 càs de cerneaux de noix
  • 2 càs d’huile d’olive
  • 2 branches de menthe fraîche (ou de lierre terrestre )
  • Sel

Préparation:

  • Ouvrez les noix et concasser les grossièrement. Réservez.
  • Hachez le persil, l’aneth et l’ail,  et coupez la menthe ou le lierre terrestre en petits morceaux
  • Pelez les concombres et coupez les en tous petits dés.
  • Dans un saladier, mélangez le yaourt et 25 cl d’eau froide. Assaisonnez en sel à votre goût.
  • Ajoutez les concombres et mettez le tout au frais .
  • Au moment  de servir, ajoutez les herbes, l’ail, parsemer de noix et d’huile d’olive. Rectifiez l’assaisonnement.

N’hésitez pas à consulter mes autres recettes à base de noix!

SALADE DE FRUITS AU SIROP DE BERCE COMMUNE

Dans sa page « Le chemin de la nature », Christophe de Hody raconte qu’une de ses plantes préférées est la berce, dont il goûte avec bonheur les fruits.

La première fois que j’ai entendu parler de cette plante, je me suis demandée à quoi elle pouvait bien ressembler et où en trouver chez moi, alors qu’il en parlait comme d’une plante très commune en région parisienne où il vit et fait partager sa passion des plantes sauvages. Je ne me souvenais pas du tout en avoir croisé, mais c’est toujours le cas quand on ne connaît pas et qu’on ne fait pas attention.

Alors j’ai cherché, et trouvé. Mais s’agissait-il de berce commune, ou de berce du Caucase, plus toxique et extrêmement  photosensibilisante? (au point que des articles et des photos circulent sur la toile montrant de graves brûlures). J’ai donc pris mon temps, celui de laisser pousser les plants repérés, pour voir leur taille adulte.

Les deux plantes sont similaires, en effet, surtout en début de pousse. Si vous avez le moindre doute, attendez un an pour laisser pousser la plante, lui laisser effectuer un cycle , et vérifier si il s’agit bien de berce commune.

Leur grande différence réside dans  leur taille: si la berce commune atteint rarement 2 m, la berce du caucase, elle, peut atteindre beaucoup plus.

Sa grande taille se retrouve aussi dans les ombelles, très grandes et de plus de 50 « rayons », alors que sa cousine plus petite n’en n’a qu’une trentaine. Les feuilles de la berce du caucase sont très découpées et vert brillant. Celle de la berce commune le sont moins et mates.

 

 

 

 

Voici un lien pour comparer les deux:  http://biodiversite.wallonie.be/servlet/Repository/?ID=30960

J’avais envie de goûter le fruits de berce dont on disait qu’ils ont un merveilleux goût d’agrumes. Pensant qu’il fallait pour cela qu’il soient mûrs, j’en ai goûté au hasard de mes balades normandes, durant mes vacances, mais sans succès. Ils étaient bruns et, à part un goût de foin, ils ne sentaient rien du tout. Mais j’ai persévéré et hier, dans les Vosges, un peu en hauteur et à l’abri du soleil, j’ai trouvé des fruits encore verts et , ô miracle, le goût d’agrumes était bien présent!

Je teste maintenant son utilisation. Pour l’instant  j’avais envie de frais car l’été joue les prolongations et il fait à nouveau 30 degrés chez moi, en ce début septembre. J’ai fait une salade de fruits qui mélange été et un peu d’automne avec les premiers raisins. Les fruits que j’indique le sont à titre d’exemple et vous pouvez y mettre tous ceux que vous aimez!

En tous cas j’ai adoré l’odeur du sirop au fruits de berce, qui a embaumé la cuisine  m’a donné envie de faire des gâteaux prochainement.

Ingrédients pour 4:

Sirop de berce:

  • 100g de sucre en poudre
  • 25 cl d’eau
  • 1 grosse poignée de fruits verts de berce
  • 1 càc de miel

Salade de fruits:

  • 1/2 melon
  • 1 banane
  • 2 kiwis
  • 1 grosse poignée de grains de raisins
  • 2 pêches jaunes
  • Fleurs de bourrache ou de capucine
  • facultatif:  pommes, poires, etc…

Préparation:

Pour le sirop:

  • Faites un sirop avec l’eau et le sucre
  • Ajoutez les fruits de berce sans la tige
  • Laissez réduire de moitié et humez ce délicieux arôme de fleurs d’oranger qui embaume la cuisine!
  • Hors du feu ajoutez le miel.
  • Laissez refroidir
  • Passez à la passoire (sauf si vous aimez le gout des fruits de berce cuits mais personnellement je les trouve trop amers)

Pour la salade: coupez tous les fruits et mélangez. Ajoutez le sirop refroidi et mettez au réfrigérateur deux heures.

Pour plus de saveurs et parce que j’aime ça, j’y ai mis des fleurs de capucines, et du lierre terrestre.

Bonne dégustation